Marseille, la grande métropole industrielle et commerciale, par Roger Broders
Après le MoMA, le MuMa, le MuCEM, le MAM, le Mamco, le MAC, le MAC/VAL, le MUDAC, le MAMCS, ou encore le SMAK, voici le MIAM. Le MIAM ? Quand le doigt montre le ciel, l'imbécile regarde le doigt : suivez le guide, et, comme Dieu et Adam, cliquez ici pour en savoir plus.
Le MIAM ne comporte pas de salles (quel concept archaïque que celui de salle ! — à dire avec une moue méprisante), mais un accès par siècle, tout là-haut à droite. Quand vous cliquerez sur une miniature, des mots-clés sous chaque œuvre vous proposeront autant de mosaïques, pour des parcours transversaux. Ces mots-clés cliquables sont aussi accessibles via le nuage de tags au-dessus de ce texte.
Un moteur de recherche est également placé au-dessus : vous pourrez y taper tout ce qui vous passe par la tête (artiste, œuvre, thème, technique, collection, pratique sexuelle...), pour un musée modulable et soumis à vos désirs.
Nous vous souhaitons une agréable visite au MIAM. Veuillez étiqueter vos bagages. Nous vous remercions d'avoir dit oui à l'art.
Attentifs ensemble : que faire en risque d'incendie ou d'attentat ? Pensez à nous signaler tout colis abandonné dont l'esthétique vous semblera suspecte.
Notre délai de réponse est très variable, mais nous répondons toujours, même après votre décès inopinément survenu lors de l'explosion ou de la prise d'otages (fréquentes au MIAM). Parce que notre plus belle récompense est la satisfaction de nos visiteurs. Avec le MIAM, allons de l'avant, ensemble.